[HELP] aiuto cicerone
ciao ragazzi ho un problema con una versione di cicerone e nn riesco a trovarla tradotto qualcuno mi + dare una mano? x favore..
la versione è tratta da Cicerone - Rhetorica - Tusculanae Disputationes - Liber Quintus - 37
ed è:
Unde igitur ordiri rectius possumus quam a communi parente natura? quae, quicquid genuit, non modo animal, sed etiam quod ita ortum esset e terra, ut stirpibus suis niteretur, in suo quidque genere perfectum esse voluit. Itaque et arbores et vites et ea, quae sunt humiliora neque se tollere a terra altius possunt, alia semper virent, alia hieme nudata verno tempore tepefacta frondescunt, neque est ullum quod non ita vigeat interiore quodam motu et suis in quoque seminibus inclusis, ut aut flores aut fruges fundat aut bacas, omniaque in omnibus, quantum in ipsis sit, nulla vi impediente perfecta sint.
per favore aiutatemi..
la versione è tratta da Cicerone - Rhetorica - Tusculanae Disputationes - Liber Quintus - 37
ed è:
Unde igitur ordiri rectius possumus quam a communi parente natura? quae, quicquid genuit, non modo animal, sed etiam quod ita ortum esset e terra, ut stirpibus suis niteretur, in suo quidque genere perfectum esse voluit. Itaque et arbores et vites et ea, quae sunt humiliora neque se tollere a terra altius possunt, alia semper virent, alia hieme nudata verno tempore tepefacta frondescunt, neque est ullum quod non ita vigeat interiore quodam motu et suis in quoque seminibus inclusis, ut aut flores aut fruges fundat aut bacas, omniaque in omnibus, quantum in ipsis sit, nulla vi impediente perfecta sint.
per favore aiutatemi..
Risposte
Prego ;)!
Chiudo
Chiudo
grazie infinite..e dal 4 sono salvo!!!
Si è in francese...
grazieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!! ma è in francese?
Unde igitur ordiri rectius possumus quam a communi parente natura? quae, quicquid genuit, non modo animal, sed etiam quod ita ortum esset e terra, ut stirpibus suis niteretur, in suo quidque genere perfectum esse uoluit. Itaque et arbores et uites et ea, quae sunt humiliora neque se tollere a terra altius possunt, alia semper uirent, alia hieme nudata uerno tempore tepefacta frondescunt, neque est ullum quod non ita uigeat interiore quodam motu et suis in quoque seminibus inclusis, ut aut flores aut fruges fundat aut bacas, omniaque in omnibus, quantum in ipsis sit, nulla ui impediente perfecta sint. (38 ) Facilius uero etiam in bestiis, quod is sensus a natura est datus, uis ipsius naturae perspici potest. Namque alias bestias nantis aquarum incolas esse uoluit, alias uolucres caelo frui libero, serpentis quasdam, quasdam esse gradientis, earum ipsarum partim soliuagas, partim congregatas, inmanis alias, quasdam autem cicures, non nullas abditas terraque tectas. Atque earum quaeque suum tenens munus, cum in disparis animantis uitam transire non possit, manet in lege naturae. Et ut bestiis aliud alii praecipui a natura datum est, quod suum quaeque retinet nec discedit ab eo, sic homini multo quiddam praestantius; etsi praestantia debent ea dici, quae habent aliquam comparationem, humanus autem animus decerptus ex mente diuina cum alio nullo nisi cum ipso deo, si hoc fas est dictu, comparari potest. (39) Hic igitur si est excultus et si eius acies ita curata est, ut ne caecaretur erroribus, fit perfecta mens, id est absoluta ratio, quod est idem uirtus. Et si omne beatum est, cui nihil deest, et quod in suo genere expletum atque cumulatum est, idque uirtutis est proprium, certe omnes uirtutis compotes beati sunt. Et hoc quidem mihi cum Bruto conuenit, id est cum Aristotele Xenocrate Speusippo Polemone. (40) Sed mihi uidentur etiam beatissimi. Quid enim deest ad beate uiuendum ei, qui confidit suis bonis? aut, qui diffidit, beatus esse qui potest? At diffidat necesse est, qui bona diuidit tripertito.
Telle est la doctrine de Platon; et de là comme d'une source auguste et divine, coulera tout mon discours. Par où mieux commencer, que par notre commune mère la nature? Toutes ses productions sont parfaites en leur genre; non seulement celles qui sont animées, mais même celles qui sont faites pour tenir à la terre par leurs racines. Ainsi les arbres, les vignes, et jusqu'aux plus petites plantes, ou conservent une perpétuelle verdure, ou après s'être dépouillées de leurs feuilles pendant l'hiver, s'en revêtent tout de nouveau au printemps; et il n'y en a aucune, qui par un mouvement intérieur, et par la force des semences qu'elle renferme, ne produise des fleurs ou des fruits : de sorte qu'à moins de quelque obstacle, elles parviennent toutes au degré de perfection qui leur est propre. Les animaux étant doués de sentiment, manifestent encore mieux la puissance de la nature. Car elle a placé dans les eaux ceux qui sont propres à nager; dans les airs, ceux qui sont disposés à voler; et parmi les terrestres, elle a fait ramper les uns, marcher les autres; elle a voulu que ceux-ci vécussent seuls, et ceux-là en troupeaux; elle a rendu les uns féroces, les autres doux; il y en a qui vivent cachés sous terre. Chaque animal, fidèle à son instinct, sans pouvoir changer sa façon de vivre, suit inviolablement la loi de la nature. Et comme toute espèce a quelque propriété qui la distingue essentiellement, aussi l'homme en a-t-il une, mais bien plus excellente : si c'est parler convenablement, que de parler ainsi de notre âme qui est d'un ordre tout à fait supérieur, et qui étant un écoulement de la Divinité, ne peut être comparée, l'oserons-nous dire, qu'avec Dieu même. Cette âme donc, lorsqu'on la cultive, et qu'on la guérit des illusions capables de l'aveugler, parvient à ce haut degré d'intelligence, qui est la raison parfaite, à laquelle nous donnons le nom de vertu. Or, si le bonheur de chaque espèce consiste dans la sorte de perfection qui lui est propre, le bonheur de l'homme consiste dans la vertu, puisque la vertu est sa perfection. Jusque-là Brutus est d'accord avec moi, aussi bien qu'Aristote, Xénocrate, Speusippe et Polémon. Mais je vais plus loin, et je soutiens que la vertu nous vend souverainement heureux. Que manque-t-il, en effet, à l'homme content de ce qu'il a, et qui sait qu'on ne peut l'en dépouiller? Au contraire, celui qui craint d'être dépouillé, comment serait-il heureux?
Telle est la doctrine de Platon; et de là comme d'une source auguste et divine, coulera tout mon discours. Par où mieux commencer, que par notre commune mère la nature? Toutes ses productions sont parfaites en leur genre; non seulement celles qui sont animées, mais même celles qui sont faites pour tenir à la terre par leurs racines. Ainsi les arbres, les vignes, et jusqu'aux plus petites plantes, ou conservent une perpétuelle verdure, ou après s'être dépouillées de leurs feuilles pendant l'hiver, s'en revêtent tout de nouveau au printemps; et il n'y en a aucune, qui par un mouvement intérieur, et par la force des semences qu'elle renferme, ne produise des fleurs ou des fruits : de sorte qu'à moins de quelque obstacle, elles parviennent toutes au degré de perfection qui leur est propre. Les animaux étant doués de sentiment, manifestent encore mieux la puissance de la nature. Car elle a placé dans les eaux ceux qui sont propres à nager; dans les airs, ceux qui sont disposés à voler; et parmi les terrestres, elle a fait ramper les uns, marcher les autres; elle a voulu que ceux-ci vécussent seuls, et ceux-là en troupeaux; elle a rendu les uns féroces, les autres doux; il y en a qui vivent cachés sous terre. Chaque animal, fidèle à son instinct, sans pouvoir changer sa façon de vivre, suit inviolablement la loi de la nature. Et comme toute espèce a quelque propriété qui la distingue essentiellement, aussi l'homme en a-t-il une, mais bien plus excellente : si c'est parler convenablement, que de parler ainsi de notre âme qui est d'un ordre tout à fait supérieur, et qui étant un écoulement de la Divinité, ne peut être comparée, l'oserons-nous dire, qu'avec Dieu même. Cette âme donc, lorsqu'on la cultive, et qu'on la guérit des illusions capables de l'aveugler, parvient à ce haut degré d'intelligence, qui est la raison parfaite, à laquelle nous donnons le nom de vertu. Or, si le bonheur de chaque espèce consiste dans la sorte de perfection qui lui est propre, le bonheur de l'homme consiste dans la vertu, puisque la vertu est sa perfection. Jusque-là Brutus est d'accord avec moi, aussi bien qu'Aristote, Xénocrate, Speusippe et Polémon. Mais je vais plus loin, et je soutiens que la vertu nous vend souverainement heureux. Que manque-t-il, en effet, à l'homme content de ce qu'il a, et qui sait qu'on ne peut l'en dépouiller? Au contraire, celui qui craint d'être dépouillé, comment serait-il heureux?
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