Lecture analytique
Vi prego ragazzi, come da titolo lecture analytique di questo? Sto nei casini e mi serve urgente :(
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Risposte
Ho provato a creare un'analisi critica del testo:
Dans l'incipit de "La condition humaine" de Malraux, oeuvre écrite en 1933, est presentée l'histoire de Tchen qui est en train d'assassiner un homme dans la nuit du 21 mars 1927 à Shangai. Ètait une nuit obscure où le temps n'existait pas et " la seule lumière venait du building voisin : un grand rectangle d’électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre dont l’un rayait le lit juste au-dessous du pied comme pour en accentuer le volume et la vie".
Tchen pensait que l'homme devait mourir, mais il était en proie à l'angoisse, parce-qu'il se repetait ces paroles: "Découvert? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés!".
L'homme était aussi endormi et il ne pouvait pas se défendre et le protagoniste pensait qui aurait commis un crime lâche. Il avait deux armes: il tenait un rasoir avec la main droite et un poignard avec la main gauche, mais il pensait que celles étaient des armes répugnants.
La scene finale voyait Tchen stupéfait du silence qui continuait à l'entourer et enfin c'était toujours lui à agir.
Ce roman policier est intriguant et rend le lecteur curieux de connaître lévénement raconté.
Lecture analytique du text
Dans l'incipit de "La condition humaine" de Malraux, oeuvre écrite en 1933, est presentée l'histoire de Tchen qui est en train d'assassiner un homme dans la nuit du 21 mars 1927 à Shangai. Ètait une nuit obscure où le temps n'existait pas et " la seule lumière venait du building voisin : un grand rectangle d’électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre dont l’un rayait le lit juste au-dessous du pied comme pour en accentuer le volume et la vie".
Tchen pensait que l'homme devait mourir, mais il était en proie à l'angoisse, parce-qu'il se repetait ces paroles: "Découvert? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés!".
L'homme était aussi endormi et il ne pouvait pas se défendre et le protagoniste pensait qui aurait commis un crime lâche. Il avait deux armes: il tenait un rasoir avec la main droite et un poignard avec la main gauche, mais il pensait que celles étaient des armes répugnants.
La scene finale voyait Tchen stupéfait du silence qui continuait à l'entourer et enfin c'était toujours lui à agir.
Ce roman policier est intriguant et rend le lecteur curieux de connaître lévénement raconté.
Si certo si trova qui: http://www.etudes-litteraires.com/malraux-condition-humaine.php
grazie mille
grazie mille
il testo non si vede benissimo, potresti mandare un'immagine un po' più grande?
Giorgia.
Giorgia.