Aiutiamo rory911
Posto io la richiesta di rory911 è un nuovo utente quindi ne approfitto per darti il benvenuto ciauuuuuuuuuu
il titolo è: La caparbia volontà di demostene scritta da Cicerone
inizia così: sit orator nobis is, qui accomodate ad persuadendum possit dicere.
il titolo è: La caparbia volontà di demostene scritta da Cicerone
inizia così: sit orator nobis is, qui accomodate ad persuadendum possit dicere.
Risposte
Quella sotto, è in francese, se ti aggrada, usala. Comunque vi prego, aprite threads vostri, che facciamo un sacco di casini!
Chiudo.
Chiudo.
ma la traduzione qual'è?
Illud uero fuit horribile, quod me hercule uereor ne maiorem uim ad deterrendum habuerit quam ad cohortandum: uoluisti enim in suo genere unum quemque nostrum quasi quendam esse Roscium; dixistique non tam ea, quae recta essent, probari, quam quae praua, fastidiis adhaerescere; quod ego non tam fastidiose in nobis quam in histrionibus spectari puto; (259) itaque nos raucos saepe attentissime audiri uideo; tenet enim res ipsa atque causa; at Aesopum, si paulum inrauserit, explodi. A quibus enim nihil praeter uoluptatem aurium quaeritur, in eis offenditur, simul atque imminuitur aliquid de uoluptate, in eloquenti autem multa sunt quae teneant; quae si omnia summa non sunt et pleraque tamen magna sunt, necesse est ea ipsa, quae sunt, mirabilia uideri. (260) Ergo, ut ad primum illud reuertar, sit orator nobis is, qui, ut Crassus descripsit, accommodate ad persuadendum possit dicere; is autem concludatur in ea, quae sunt in usu ciuitatum uulgari ac forensi, remotisque ceteris studiis, quamuis ea sint ampla atque praeclara, in hoc uno opere, ut ita dicam, noctes et dies urgeatur; imiteturque illum, cui sine dubio summa uis dicendi conceditur, Atheniensem Demosthenem, in quo tantum studium fuisse tantusque labor dicitur, ut primum impedimenta naturae diligentia industriaque superaret, cumque ita balbus esset, ut eius ipsius artis, cui studeret, primam litteram non posset dicere, perfecit meditando, ut nemo planius esse locutus putaretur; (261) deinde cum spiritus eius esset angustior, tantum continenda anima in dicendo est adsecutus, ut una continuatione uerborum, id quod eius scripta declarant, binae ei contentiones uocis et remissiones continerentur; qui etiam, ut memoriae proditum est, coniectis in os calculis, summa uoce uersus multos uno spiritu pronuntiare consuescebat; neque is consistens in loco, sed inambulans atque ascensu ingrediens arduo. (262) Hisce ego cohortationibus, Crasse, ad studium et ad laborem incitandos iuuenis uehementer adsentior; cetera, quae conlegisti ex uariis et diuersis studiis et artibus, tametsi ipse es omnia consecutus, tamen ab oratoris proprio officio atque munere seiuncta esse arbitror."
Mais, ce qui me paraît effrayant, et plus propre à décourager qu'à faire naître l'émulation, vous voulez que chaque orateur soit dans son genre un Roscius ; vous ajoutez que l'auditeur est moins disposé à approuver ce qu'il y a de bon, qu'il n'est rebuté des défauts. Cependant on ne nous juge pas, je crois, avec la même sévérité que les comédiens. Qu'un orateur ait la voix enrouée, on l'écoutera encore avec attention, parce que le sujet qu'il traite suffit pour exciter l'intérêt. Mais que le même accident arrive à Ésopus, aussitôt le mécontentement public éclatera. Lorsque ce que nous entendons ne nous procure pas d'autre plaisir que de charmer notre oreille, tout ce qui peut diminuer ce plaisir nous choque et nous irrite. Mais il y a dans l'éloquence bien des parties qui nous attachent; si toutes ne sont pas également élevées, la plupart du moins sont importantes, et ce qu'il y a de vraiment beau ne peut manquer d'être apprécié. Pour en revenir à ce que nous avons dit en commençant cet entretien, donnons, suivant la définition de Crassus, le nom d'orateur à celui qui sait parler de manière à persuader; mais n'étendons pas ses études au delà du cercle du barreau et des intérêts de ses concitoyens. Qu'il renonce à toutes les autres connaissances, quelque nobles, quelque belles qu'elles puissent être; qu'il se borne à son art, et s'y consacre jour et nuit; qu'il imite le zèle infatigable de l'Athénien Démosthène, à qui sans doute personne ne contestera la puissance de la parole. On sait que ce grand homme, à force de travail et d'efforts, parvint à triompher des obstacles de la nature. Né bègue, au point de ne pouvoir prononcer la première lettre de son art, il s'appliqua si bien à corriger ce défaut, que personne ne parlait plus distinctement que lui. Il avait la respiration courte : à force d'exercice, il apprit à la ménager au point de pouvoir élever et abaisser deux fois la voix dans la même période, comme ses écrits nous l'apprennent. On dit encore qu'il mettait des cailloux dans sa bouche, et prononçait d'une haleine et à haute voix une longue tirade de vers, et cela non pas en se tenant en place, mais en marchant, et gravissant avec effort dans des lieux escarpés. Voilà, Crassus, de quelle manière je pense qu'il faut exhorter les jeunes gens au travail : quant à ces connaissances si étendues, et que vous empruntiez tout à l'heure à tant d'arts différents, je sais que vous les posssédez toutes, mais je ne les crois pas nécessaires à l'orateur, et je ne saurais les renfermer dans le domaine de l'éloquence.
Mais, ce qui me paraît effrayant, et plus propre à décourager qu'à faire naître l'émulation, vous voulez que chaque orateur soit dans son genre un Roscius ; vous ajoutez que l'auditeur est moins disposé à approuver ce qu'il y a de bon, qu'il n'est rebuté des défauts. Cependant on ne nous juge pas, je crois, avec la même sévérité que les comédiens. Qu'un orateur ait la voix enrouée, on l'écoutera encore avec attention, parce que le sujet qu'il traite suffit pour exciter l'intérêt. Mais que le même accident arrive à Ésopus, aussitôt le mécontentement public éclatera. Lorsque ce que nous entendons ne nous procure pas d'autre plaisir que de charmer notre oreille, tout ce qui peut diminuer ce plaisir nous choque et nous irrite. Mais il y a dans l'éloquence bien des parties qui nous attachent; si toutes ne sont pas également élevées, la plupart du moins sont importantes, et ce qu'il y a de vraiment beau ne peut manquer d'être apprécié. Pour en revenir à ce que nous avons dit en commençant cet entretien, donnons, suivant la définition de Crassus, le nom d'orateur à celui qui sait parler de manière à persuader; mais n'étendons pas ses études au delà du cercle du barreau et des intérêts de ses concitoyens. Qu'il renonce à toutes les autres connaissances, quelque nobles, quelque belles qu'elles puissent être; qu'il se borne à son art, et s'y consacre jour et nuit; qu'il imite le zèle infatigable de l'Athénien Démosthène, à qui sans doute personne ne contestera la puissance de la parole. On sait que ce grand homme, à force de travail et d'efforts, parvint à triompher des obstacles de la nature. Né bègue, au point de ne pouvoir prononcer la première lettre de son art, il s'appliqua si bien à corriger ce défaut, que personne ne parlait plus distinctement que lui. Il avait la respiration courte : à force d'exercice, il apprit à la ménager au point de pouvoir élever et abaisser deux fois la voix dans la même période, comme ses écrits nous l'apprennent. On dit encore qu'il mettait des cailloux dans sa bouche, et prononçait d'une haleine et à haute voix une longue tirade de vers, et cela non pas en se tenant en place, mais en marchant, et gravissant avec effort dans des lieux escarpés. Voilà, Crassus, de quelle manière je pense qu'il faut exhorter les jeunes gens au travail : quant à ces connaissances si étendues, et que vous empruntiez tout à l'heure à tant d'arts différents, je sais que vous les posssédez toutes, mais je ne les crois pas nécessaires à l'orateur, et je ne saurais les renfermer dans le domaine de l'éloquence.
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