Comprensione e riassunto 2 prova FRANCESE! urgente grazieee
riuscireste a farmi la comprssione e il riassunto? graziee
Connaître les failles du numérique
Alors que le e-commerce et les puces électroniques ont envahi notre quotidien, plus de la moitié des
Français se déclarent inquiets face aux risques liés aux nouvelles technologies.
Internet, le téléphone mobile, les cartes bancaires, la carte Vitale, les passeports biométriques ...
Toutes ces technologies véhiculent des informations, souvent confidentielles. Pourtant, à l'ère du
commerce électronique (20 milliards d'euros de chiffre d'affaires en France en 2008) et de la banque en
ligne, une nouvelle génération de malfaiteurs, les cybercriminels, tente d'intervenir dans les échanges
pour s'enrichir. Avec un certain succès, semble-t-il ... 32 millions d'internautes dans notre pays et 56
millions de mobinautes sont concernés. Doivent-ils accorder une confiance aveugle à ces technologies,
parfois difficiles à cerner, ou les refuser de peur d'être floués?
En découvrant les conclusions du panorama 2008 de la cybercriminalité présenté le 15 janvier 2009
par le C1usif (Club de la sécurité de l'information français, regroupant des professionnels de la sécurité
numérique), il serait facile de céder à la panique. La multitude des failles de sécurité existantes (dont
de nombreuses ont déjà été exploitées par des malfaiteurs), ainsi que les risques inhérents aux
technologies émergentes, dessinent un portrait fragile de cette nouvelle économie bâtie autour du
numérique. Sans oublier les bugs informatiques, comme celui du moteur de recherche Google qui, le
31 janvier, a indiqué pendant une heure que l'ensemble des sites mondiaux pouvaient «endommager
votre ordinateur».
On peut distinguer deux types de circuits à risques: les circuits fermés (notamment les cartes
bancaires) et les circuits ouverts (internet). Les premiers systèmes, utilisant des cartes à puce,
apparaissent les moins sujets aux fraudes. En effet, les cartes bancaires, cartes Vitale, cartes SIM et
passeports biométriques évoluent généralement en milieu fermé. La communication des informations
intervient uniquement entre la carte et le lecteur et ne présente pas vraiment de faiblesse. Des
tentatives pour «casser les codes» impliqueraient une dépense de temps et d'énergie trop importante,
contre-productrive pour le crime organisé. Il reste plus efficace de voler directement la carte bancaire
d’une personne vulnérable avec ses identifiants. Certains malfaiteurs préfèrent d’ailleurs installer des
caméras près des distributeurs pour enregistrer la saisie des codes.
Les menaces deviennent plus palpables lorsqu’on aborde le monde des réseaux, internet en première
ligne. Tout le monde connaît l’existence de programmes malveillants, reçus par e-mail ou chargés sur
des sites infectés, qui se glissent dans les ordinateurs pour subtiliser discrètement les codes et données
confidentielles.
Mais de nombreuses autres techniques sont apparues, notamment les cartes de voeux piégées, les
escroqueries dites «à la nigériane» (le fils d’un homme d’Etat africain vous contacte pour récupérer un
trésor bloqué dans une banque étrangère en vous promettant 10 % des sommes recouvrées si vous
acceptez de financer les frais de l’opération), le phishing (un e-mail vous invite à renouveler vos
identifiants sur un site imitant en tout point celui de votre banque), ou encore de faux antivirus.
Même les réseaux sociaux, victimes de leur succès, ne sont plus à l’abri. Les quelques millions
d’utilisateurs en France doivent se méfier des vers informatiques qui viennent s’immiscer dans leurs
comptes pour extorquer leurs données sensibles.
Il y avait déjà le spam mobile (un SMS vous invite à contacter une personne qui vous cherche et vous
tombez sur une ligne lourdement surfacturée), il faudra maintenant compter avec les virus mobiles.
L’expansion des smartphones, tels que l’iPhone d’Apple, le nouvel Android de Google ou le
BlackBerry de Rim, n’a pas échappé aux hackers. Ces produits qui commencent tout juste à être
employés pour le commerce électronique ou la banque en ligne devront rapidement bénéficier de
logiciels de sécurité sous peine de surprises désagréables (le BlackBerry de Barack Obama vient tout
juste d’être équipé d’un logiciel de ce type par ses services de sécurité).
Nul besoin, pourtant, de céder à la panique. En tenant vos antivirus à jour et en adoptant un
comportement responsable sur internet comme vous le feriez dans la rue, il est peu probable que vous
connaissiez des mésaventures. Dans le cas contraire, rendez-vous sur le portail de signalement des
contenus illicites de l’internet. Lancé par le gouvernement le 6 janvier, il a mis à jour plus de 600
escroqueries dès la première semaine.
Compréhension
− Expliquez l’expression «Le e-commerce et les puces électroniques ont envahi notre quotidien»
− Qu’est-ce que la «cybercriminalité»?
− Pourquoi les «circuits fermés» apparaissent-ils moins sujets aux fraudes que les «circuits ouverts»?
− Court-on un risque lorsque l’on retire de l’argent dans un distributeur?
− Qu’est-ce qu’ une «carte de voeux piégée»?
− Y a-t-il des risques dans l’utilisation du téléphone mobile?
− Pourquoi ne faut-il pas «céder à la panique»?
− Peut-on signaler les escroqueries?
Production
− Résumez le texte en quelques lignes.
− Examinez l’importance des nouvelles technologies dans votre vie quotidienne
Connaître les failles du numérique
Alors que le e-commerce et les puces électroniques ont envahi notre quotidien, plus de la moitié des
Français se déclarent inquiets face aux risques liés aux nouvelles technologies.
Internet, le téléphone mobile, les cartes bancaires, la carte Vitale, les passeports biométriques ...
Toutes ces technologies véhiculent des informations, souvent confidentielles. Pourtant, à l'ère du
commerce électronique (20 milliards d'euros de chiffre d'affaires en France en 2008) et de la banque en
ligne, une nouvelle génération de malfaiteurs, les cybercriminels, tente d'intervenir dans les échanges
pour s'enrichir. Avec un certain succès, semble-t-il ... 32 millions d'internautes dans notre pays et 56
millions de mobinautes sont concernés. Doivent-ils accorder une confiance aveugle à ces technologies,
parfois difficiles à cerner, ou les refuser de peur d'être floués?
En découvrant les conclusions du panorama 2008 de la cybercriminalité présenté le 15 janvier 2009
par le C1usif (Club de la sécurité de l'information français, regroupant des professionnels de la sécurité
numérique), il serait facile de céder à la panique. La multitude des failles de sécurité existantes (dont
de nombreuses ont déjà été exploitées par des malfaiteurs), ainsi que les risques inhérents aux
technologies émergentes, dessinent un portrait fragile de cette nouvelle économie bâtie autour du
numérique. Sans oublier les bugs informatiques, comme celui du moteur de recherche Google qui, le
31 janvier, a indiqué pendant une heure que l'ensemble des sites mondiaux pouvaient «endommager
votre ordinateur».
On peut distinguer deux types de circuits à risques: les circuits fermés (notamment les cartes
bancaires) et les circuits ouverts (internet). Les premiers systèmes, utilisant des cartes à puce,
apparaissent les moins sujets aux fraudes. En effet, les cartes bancaires, cartes Vitale, cartes SIM et
passeports biométriques évoluent généralement en milieu fermé. La communication des informations
intervient uniquement entre la carte et le lecteur et ne présente pas vraiment de faiblesse. Des
tentatives pour «casser les codes» impliqueraient une dépense de temps et d'énergie trop importante,
contre-productrive pour le crime organisé. Il reste plus efficace de voler directement la carte bancaire
d’une personne vulnérable avec ses identifiants. Certains malfaiteurs préfèrent d’ailleurs installer des
caméras près des distributeurs pour enregistrer la saisie des codes.
Les menaces deviennent plus palpables lorsqu’on aborde le monde des réseaux, internet en première
ligne. Tout le monde connaît l’existence de programmes malveillants, reçus par e-mail ou chargés sur
des sites infectés, qui se glissent dans les ordinateurs pour subtiliser discrètement les codes et données
confidentielles.
Mais de nombreuses autres techniques sont apparues, notamment les cartes de voeux piégées, les
escroqueries dites «à la nigériane» (le fils d’un homme d’Etat africain vous contacte pour récupérer un
trésor bloqué dans une banque étrangère en vous promettant 10 % des sommes recouvrées si vous
acceptez de financer les frais de l’opération), le phishing (un e-mail vous invite à renouveler vos
identifiants sur un site imitant en tout point celui de votre banque), ou encore de faux antivirus.
Même les réseaux sociaux, victimes de leur succès, ne sont plus à l’abri. Les quelques millions
d’utilisateurs en France doivent se méfier des vers informatiques qui viennent s’immiscer dans leurs
comptes pour extorquer leurs données sensibles.
Il y avait déjà le spam mobile (un SMS vous invite à contacter une personne qui vous cherche et vous
tombez sur une ligne lourdement surfacturée), il faudra maintenant compter avec les virus mobiles.
L’expansion des smartphones, tels que l’iPhone d’Apple, le nouvel Android de Google ou le
BlackBerry de Rim, n’a pas échappé aux hackers. Ces produits qui commencent tout juste à être
employés pour le commerce électronique ou la banque en ligne devront rapidement bénéficier de
logiciels de sécurité sous peine de surprises désagréables (le BlackBerry de Barack Obama vient tout
juste d’être équipé d’un logiciel de ce type par ses services de sécurité).
Nul besoin, pourtant, de céder à la panique. En tenant vos antivirus à jour et en adoptant un
comportement responsable sur internet comme vous le feriez dans la rue, il est peu probable que vous
connaissiez des mésaventures. Dans le cas contraire, rendez-vous sur le portail de signalement des
contenus illicites de l’internet. Lancé par le gouvernement le 6 janvier, il a mis à jour plus de 600
escroqueries dès la première semaine.
Compréhension
− Expliquez l’expression «Le e-commerce et les puces électroniques ont envahi notre quotidien»
− Qu’est-ce que la «cybercriminalité»?
− Pourquoi les «circuits fermés» apparaissent-ils moins sujets aux fraudes que les «circuits ouverts»?
− Court-on un risque lorsque l’on retire de l’argent dans un distributeur?
− Qu’est-ce qu’ une «carte de voeux piégée»?
− Y a-t-il des risques dans l’utilisation du téléphone mobile?
− Pourquoi ne faut-il pas «céder à la panique»?
− Peut-on signaler les escroqueries?
Production
− Résumez le texte en quelques lignes.
− Examinez l’importance des nouvelles technologies dans votre vie quotidienne
Risposte
grazie :)
Sperando di non aver fatto errori, eccoti le risposte per la parte inerente la comprensione:
Qu’est-ce que la «cybercriminalité»?
tous les types de délits perpétrés sur internet : une nouvelle génération de malfaiteurs,tente d'intervenir dans les échanges (e-commerce)
pour s'enrichir.
Pourquoi les «circuits fermés» apparaissent-ils moins sujets aux fraudes que les «circuits ouverts»?
Parce-que en utilisant des cartes à puce, la communication des informations
intervient uniquement entre la carte et le lecteur et ne présente pas vraiment de faiblesse.
Court-on un risque lorsque l’on retire de l’argent dans un distributeur?
Oui, il peut être des caméras pour enregistrer la saisie des codes.
Qu’est-ce qu’ une «carte de voeux piégée»?
c'est une nouvelle variante du virus, particulièrement virulent, qui se fait passer pour une carte de voeux. Le message reçu contient un simple "Joyeux Noël" avec une image et un attachement exécutable.
− Y a-t-il des risques dans l’utilisation du téléphone mobile? oui, parce-que il y a Il y déjà le spam mobile (un SMS vous invite à contacter une personne qui vous cherche et vous tombez sur une ligne lourdement surfacturée
− Pourquoi ne faut-il pas «céder à la panique»? parce-que en adoptant un comportement responsable sur internet ety En tenant l’ antivirus à jour il est peu probable que vous connaissiez des mésaventures.
− Peut-on signaler les escroqueries?
Oui, il faut se connecter à le portail de signalement des contenus illicites de l’internet.
Qu’est-ce que la «cybercriminalité»?
tous les types de délits perpétrés sur internet : une nouvelle génération de malfaiteurs,tente d'intervenir dans les échanges (e-commerce)
pour s'enrichir.
Pourquoi les «circuits fermés» apparaissent-ils moins sujets aux fraudes que les «circuits ouverts»?
Parce-que en utilisant des cartes à puce, la communication des informations
intervient uniquement entre la carte et le lecteur et ne présente pas vraiment de faiblesse.
Court-on un risque lorsque l’on retire de l’argent dans un distributeur?
Oui, il peut être des caméras pour enregistrer la saisie des codes.
Qu’est-ce qu’ une «carte de voeux piégée»?
c'est une nouvelle variante du virus, particulièrement virulent, qui se fait passer pour une carte de voeux. Le message reçu contient un simple "Joyeux Noël" avec une image et un attachement exécutable.
− Y a-t-il des risques dans l’utilisation du téléphone mobile? oui, parce-que il y a Il y déjà le spam mobile (un SMS vous invite à contacter une personne qui vous cherche et vous tombez sur une ligne lourdement surfacturée
− Pourquoi ne faut-il pas «céder à la panique»? parce-que en adoptant un comportement responsable sur internet ety En tenant l’ antivirus à jour il est peu probable que vous connaissiez des mésaventures.
− Peut-on signaler les escroqueries?
Oui, il faut se connecter à le portail de signalement des contenus illicites de l’internet.