Vi prego sto in alto mare

losy4ever
Vi prego potete aiutarmi mi hanno dato troppe versioni per le vacanze e queste non sono riuscite a finirle.. non riesco neanche a trovarle nel motore di ricerca...

sono tutte di Livio...

1 scipione rimprovera a i locresi la diserzione
Inizio: Scipio ut et arcem relictam ab hostibus et vacua vidit castra, vocatos ad contionem Locrenses graviter ob defectionem incusavit;

2 Una pestilenza invade Roma ed il console Licinio chiede al senato di licenziare l'esercito
Inizio: Iam comitiorum appetebat tempus cum a P. Licinio consule litterae Romam allatae se exercitumque suum gravi morbo adflictari, nec sisti potuisse ni eadem vis mali aut gravior etiam in hostes ingruisset;

3 Filippo constringe gli Etoli alla pace secondo le sue condizioni e i romani intervengono in aiuto di questi ultimi
Inizio: Neglectae eo biennio res in Graecia erant.

4 dissenso e incertezza fra gli storici sul numero di soldati trasportati da scipione in africa
Inizio: Quantum militum in africam transportatum sit non parvo numero inter auctores discrepat.

5 asdrubale ritiene coraggioso e ambizioso massinissa
Inizio: hasdrubal tum forte cum haec gerebantur apud syphacem erat;

6 organizzazione del rifornimento di vitto e di vestiario da trasportare in sicilia
Inizio: praeter convectum undique ex populatis circa agris frumentum commeatusque ex sicilia atque italia advectos,


Scusate per il disturbo e grazie molte per il vostro aiuto!
Giorgia

Risposte
paraskeuazo
Cavolooooo ma sono quattroooooooooo!!!!! nessun' altro a parte me ha voglia di tradurre il francese???? così ci dividiamo il lavoro...

pukketta
azz cn sto francese

IPPLALA
E fu così che si trovarono testi in francese..... mmmh....

Mario
Scipio ut et arcem relictam ab hostibus et uacua uidit castra, uocatos ad contionem Locrenses grauiter ob defectionem incusauit; de auctoribus supplicium sumpsit bonaque eorum alterius factionis principibus ob egregiam fidem aduersus Romanos concessit. publice nec dare nec eripere se quicquam Locrensibus dixit; Romam mitterent legatos; quam senatus aequum censuisset, eam fortunam habituros. illud satis scire, etsi male de populo Romano meriti essent, in meliore statu sub iratis Romanis futuros quam sub amicis Carthaginiensibus fuerint. ipse Pleminio legato praesidioque quod arcem ceperat ad tuendam urbem relicto, cum quibus uenerat copiis Messanam traiecit.
Ita superbe et crudeliter habiti Locrenses ab Carthaginiensibus post defectionem ab Romanis fuerant ut modicas iniurias non aequo modo animo pati sed prope libenti possent; uerum enimuero tantum Pleminius Hamilcarem praesidii praefectum, tantum praesidiarii milites Romani Poenos scelere atque auaritia superauerunt ut non armis sed uitiis uideretur certari. nihil omnium quae inopi inuisas opes potentioris faciunt praetermissum in oppidanos est ab duce aut a militibus; in corpora ipsorum, in liberos, in coniuges infandae contumeliae editae. iam auaritia ne sacrorum quidem spoliatione abstinuit; nec alia modo templa uiolata sed Proserpinae etiam intacti omni aetate thesauri, praeterquam quod a Pyrrho, qui cum magno piaculo sacrilegii sui manubias rettulit, spoliati dicebantur. ergo sicut ante regiae naues laceratae naufragiis nihil in terram integri praeter sacram pecuniam deae quam asportabant extulerant, tum quoque alio genere cladis eadem illa pecunia omnibus contactis ea uiolatione templi furorem obiecit atque inter se ducem in ducem, militem in militem rabie hostili uertit.

Quand Scipion vit la citadelle abandonnée par les ennemis et leur camp vide, réunissant les Locriens, il leur reprocha sévèrement leur défection; 2. il fit mettre au supplice ceux qui en avaient pris l'initiative, et accorda leurs biens aux chefs de l'autre parti, pour leur fidélité remarquable envers les Romains; 3. quant aux mesures générales, il déclara que lui, il n'accordait ni n'enlevait rien aux Locriens : ils devaient envoyer des députés à Rome; la condition que le sénat jugerait pour eux équitable serait la leur; 4. mais ce qu'il savait bien, c'était que, malgré leurs mauvais services envers le peuple romain, leur situation serait meilleure sous l'autorité des Romains irrités qu'elle ne l'avait été sous celle des Carthaginois amis. 5. Puis Scipion, laissant le lieutenant Pleminius et le détachement qui avait pris la citadelle à la garde de la ville, repassa lui-même à Messine avec les troupes avec lesquelles il était venu. B. Si insolent, si cruel avait été le traitement infligé par les Carthaginois aux Locriens, depuis que ceux-ci avaient abandonné les Romains, que les Locriens pouvaient supporter des abus modérés avec calme, et presque avec plaisir; 7. mais vraiment Pleminius dépassa tellement Hamilcar, chef de la garnison carthaginoise, les soldats de la garnison romaine dépassèrent tellement les Carthaginois par leurs crimes et leur cupidité, qu'ils semblaient rivaliser avec eux, non par les armes, mais par les vices. 8. Rien de tout ce qui rend odieuse au faible la force du puissant ne fut épargné aux habitants par le général ou par ses soldats : contre leurs personnes, contre leurs enfants, contre leurs femmes, ils commirent des outrages indicibles. 9. Quant à leur cupidité, elle ne s'abstint même pas de piller les objets du culte; et non seulement d'autres temples furent violés, mais aussi le trésor de Proserpine, resté intact de tout temps, si ce n'est que Pyrrhus, après l'avoir pillé, disait-on, y rapporta tout le butin ainsi fait, non sans expier pour cela son sacrilège. 10. Aussi, comme cette fois-là les navires du roi, brisés par le naufrage, n'avaient amené à terre rien d'intact, sauf l'argent consacré à la déesse et transporté par eux, 11. alors également, par un fléau d'un autre genre, ce même argent remplit d'égarement tous ceux qui s'étaient souillés par cette violation du temple, et les tourna l'un contre l'autre, chef contre chef, soldat contre soldat, avec une rage d'ennemis véritables.

Iam comitiorum appetebat tempus cum a P- Licinio consule litterae Romam allatae se exercitumque suum graui morbo adflictari, nec sisti potuisse ni eadem uis mali aut grauior etiam in hostes ingruisset; itaque quoniam ipse uenire ad comitia non posset, si ita patribus uideretur, se Q- Caecilium Metellum dictatorem comitiorum causa dicturum. exercitum Q- Caecili dimitti e re publica esse; {nam} neque usum eius ullum in praesentia esse, cum Hannibal iam in hiberna suos receperit, et tanta incesserit in ea castra uis morbi ut nisi mature dimittantur nemo omnium superfuturus uideatur. ea consuli a patribus facienda ut e re publica fideque sua duceret permissa. ciuitatem eo tempore repens religio inuaserat inuento carmine in libris Sibyllinis propter crebrius eo anno de caelo lapidatum inspectis, quandoque hostis alienigena terrae Italiae bellum intulisset eum pelli Italia uincique posse si mater Idaea a Pessinunte Romam aduecta foret. id carmen ab decemuiris inuentum eo magis patres mouit quod et legati qui donum Delphos portauerant referebant et sacrificantibus ipsis Pythio Apollini omnia laeta fuisse et responsum oraculo editum maiorem multo uictoriam quam cuius ex spoliis dona portarent adesse populo Romano. in eiusdem spei summam conferebant P- Scipionis uelut praesagientem animum de fine belli quod depoposcisset prouinciam Africam. itaque quo maturius fatis ominibus oraculisque portendentis sese uictoriae compotes fierent, id cogitare atque agitare quae ratio transportandae Romam deae esset.

Déjà le moment des élections approchait, quand on apporta à Rome une lettre du consul Publius Licinius : son armée et lui, disait-il, étaient atteints d'une grave maladie, et l'on n'aurait pas pu se maintenir, si un mal de la même violence, et plus grave encore, ne s'était abattu sur l'ennemi; 2. aussi, comme il ne pouvait venir présider les élections, il proclamerait, si le sénat le jugeait bon, Quintus Caecilius Metellus dictateur aux élections. L'armée de Quintus Caecilius, il était, ajoutait-il, dans l'intérêt de l'État de la démobiliser; 3. car elle ne servait à rien pour le moment, alors qu'Hannibal avait déjà ramené les siens dans leurs quartiers d'hiver; et si grande était la violence du mal qui avait envahi le camp que, si on ne libérait pas ces soldats à la hâte, il semblait qu'aucun d'eux ne survivrait. Le sénat permit au consul de le faire, dans l'intérêt de l'État et en conscience.
4. A cette époque, les citoyens, à Rome, s'étaient,. depuis peu, mis dans l'esprit un scrupule religieux, parce qu'on avait trouvé dans les livres sibyllins, consultés à cause de la fréquence exceptionnelle des pluies de pierres cette année-là, une prédiction disant qu'à 5. quelque moment qu'un ennemi étranger portât la guerre en Italie, on pouvait le chasser d'Italie et le vaincre, si l'on transportait la Mère de l'Ida de Pessinonte à Rome.
6. Cette prédiction, découverte par les décemvirs, avait d'autant plus frappé le sénat que les ambassadeurs qui avaient porté une offrande à Delphes rapportaient, eux aussi, et que, dans leurs sacrifices à Apollon Pythien, les entrailles avaient toujours été favorables, et que l'oracle avait répondu qu'une victoire, bien plus grande que celle dont les dépouilles leur permettaient de porter cette offrande, était proche pour le peuple romain. 7. A l'ensemble des raisons propres à leur donner le même espoir, ils ajoutaient cette inspiration de Scipion qui avait semblé présager la fin de la guerre, en réclamant la « province » d'Afrique. 8. Aussi, pour hâter la réalisation d'une victoire qui s'annonçait par les livres du. destin, les présages et les oracles, ils examinaient et discutaient les moyens de transporter à Rome la déesse.

Neglectae eo biennio res in Graecia erant. itaque Philippus Aetolos desertos ab Romanis, cui uni fidebant auxilio, quibus uoluit condicionibus ad petendam et paciscendam subegit pacem. quod nisi omni ui perficere maturasset, bellantem eum cum Aetolis P- Sempronius proconsul, successor imperii missus Sulpicio cum decem milibus peditum et mille equitibus et triginta quinque rostratis nauibus, haud paruum momentum ad opem ferendam sociis, oppressisset. uixdum pace facta nuntius regi uenit Romanos Dyrrachium uenisse Parthinosque et propinquas alias gentes motas esse ad spem nouandi res Dimallumque oppugnari. eo se auerterant Romani ab Aetolorum quo missi erant auxilio, irati quod sine auctoritate sua aduersus foedus cum rege pacem fecissent. ea cum audisset Philippus ne qui motus maior in finitimis gentibus populisque oreretur magnis itineribus Apolloniam contendit, quo Sempronius se receperat misso Laetorio legato cum parte copiarum et quindecim nauibus in Aetoliam ad uisendas res pacemque si posset turbandam. Philippus agros Apolloniatium uastauit et ad urbem admotis copiis potestatem pugnae Romano fecit; quem postquam quietum muros tantummodo tueri uidit, nec satis fidens uiribus ut urbem oppugnaret et cum Romanis quoque, sicut cum Aetolis, cupiens pacem si posset, si minus, indutias facere, nihil ultra inritatis nouo certamine odiis in regnum se recepit.
Per idem tempus taedio diutini belli Epirotae temptata prius Romanorum uoluntate legatos de pace communi ad Philippum misere, satis confidere conuenturam eam adfirmantes si ad conloquium cum P- Sempronio imperatore Romano uenisset. facile impetratum -- neque enim ne ipsius quidem regis abhorrebat animus -- ut in Epirum transiret. Phoenice urbs est Epiri; ibi prius conlocutus rex cum Aeropo et Derda et Philippo, Epirotarum praetoribus, postea cum P- Sempronio congreditur. adfuit conloquio Amynander Athamanum rex, et magistratus alii Epirotarum et Acarnanum. primus Philippus praetor uerba facit et petit simul ab rege et ab imperatore Romano ut finem belli facerent darentque eam Epirotis ueniam. P- Sempronius condiciones pacis dixit ut Parthini et Dimallum et Bargullum et Eugenium Romanorum essent, Atintania, si missis Romam legatis ab senatu impetrasset, ut Macedoniae accederet. in eas condiciones cum pax conueniret, ab rege foederi adscripti Prusia Bithyniae rex, Achaei Boeoti Thessali Acarnanes Epirotae: ab Romanis Ilienses, Attalus rex, Pleuratus, Nabis Lacedaemoniorum tyrannus, Elei Messenii Athenienses. haec conscripta consignataque sunt, et in duos menses indutiae factae donec Romam mitterentur legati ut populus in has condiciones pacem iuberet; iusseruntque omnes tribus, quia uerso in Africam bello omnibus aliis in praesentia leuari bellis uolebant. P- Sempronius pace facta ad consulatum Romam decessit.

Pendant les deux dernières années, on avait négligé les affaires de Grèce. Aussi Philippe, les Étoliens étant privés du secours des Romains, le seul auquel ils se fiassent, les força à demander et à conclure la paix aux conditions qu'il voulut. 2. S'il n'avait hâté de toutes ses forces la conclusion de cette affairé, pendant qu'il se serait trouvé en guerre contre les Étoliens le proconsul Publius Sempronius, envoyé, pour succéder à Sulpicius dans son commandement, avec dix mille fantassins, mille cavaliers et trente-cinq vaisseaux de guerre, appoint considérable pour porter secours à des alliés, l'aurait écrasé.
3. A peine la paix faite, la nouvelle parvint au roi que les Romains étaient arrivés à Dyrrachium, que les Parthini et d'autres nations voisines s'étaient soulevés dans l'espoir d'une révolution, et que Dimallum était attaqué : 4. les Romains s'étaient tournés de ce côté au lieu d'aller là où ils étaient envoyés, au secours des Étoliens, dans leur colère de voir que ceux-ci, sans leur assentiment, et contrairement au traité, avaient fait la paix avec le roi. 5. A cette nouvelle, Philippe, craignant un soulèvement plus important chez les nations et les peuples voisins, se dirige à grandes étapes sur Apollonie, où Sempronius s'était retiré après avoir envoyé son lieutenant Laetorius, avec une partie des troupes et quinze vaisseaux, en Étolie, pour examiner la situation, et, si possible, troubler la paix. 6. Philippe dévasta le territoire d'Apollonie et, approchant ses troupes de la ville, offrit la bataille au Romain; 7. quand il vit que celui-ci se contentait de garder tranquillement les remparts, n'étant pas assez sûr de ses forces pour attaquer la place et désirant faire, avec les Romains comme avec les Étoliens, la paix, s'il le pouvait, sinon, une trêve, au lieu d'attiser encore les haines par une nouvelle bataille, il se retira dans son royaume.
8. Pendant la même époque, les Épirotes, dégoûtés de la longueur de la guerre, après avoir sondé les dispositions des Romains, envoyèrent des ambassadeurs proposer à Philippe une paix générale, 9. affirmant leur conviction qu'elle serait conclue, s'il venait à une entrevue avec Publius Sempronius, le général en chef romain.
10. On obtint facilement du roi - car il ne répugnait pas à faire la paix - qu'il passât en Épire. 11. Phoenice est une ville d'Épire. Le roi, après s'y être entretenu avec Aeropus, Darda et Philippe, préteurs des Épirotes, se rencontre avec Publius Sempronius. 12. Assistèrent à l'entrevue Amynander, roi des Athamani, et d'autres personnages, magistrats des Épirotes et des Acarnaniens. Le préteur Philippe parla le premier, et demanda à la fois au roi et au général romain de mettre fin à la guerre, d'accorder cette faveur aux Épirotes. 13. Publius Sempronius mit pour conditions à la paix que les Parthini, Dimallum, Bargullum, et Eugenium appartiendraient aux Romains, que l'Atintania, si une ambassade envoyée à Rome l'obtenait du sénat, serait incorporée à la Macédoine.
14. La paix conclue à ces conditions, on fit comprendre dans le traité, du côté du roi Prusias, roi de Bithynie, les Achéens, les Béotiens, les Thessaliens, les Acarnaniens, les Épirotes; du côté des Romains, les gens d'Ilion, le roi Attale, Pleuratus, Nabis, tyran de Lacédémone, les Éléens, les Messéniens et les Athéniens.
15. Telles furent les conditions rédigées et signées en commun; et l'on conclut une trêve de deux mois, le temps d'envoyer des courriers à Rome pour faire voter par le peuple la paix à ces conditions. 16. Toutes les tribus la votèrent, parce que, les hostilités étant tournées contre l'Afrique, on voulait pour le moment être débarrassé de toutes les autres guerres. Publius Sempronius, la paix faite, quitta la province pour Rome, afin d'y exercer son consulat.

Quantum militum in Africam transportatum sit non paruo numero inter auctores discrepat. alibi decem milia peditum duo milia et ducentos equites, alibi sedecim milia peditum mille et sescentos equites, alibi parte plus dimidia rem auctam, quinque et triginta milia peditum equitumque in naues imposita . quidam non adiecere numerum, inter quos me ipse in re dubia poni malim. Coelius ut abstinet numero, ita ad immensum multitudinis speciem auget: uolucres ad terram delapsas clamore militum ait tantamque multitudinem conscendisse naues ut nemo mortalium aut in Italia aut in Sicilia relinqui uideretur.
Milites ut naues ordine ac sine tumultu conscenderent ipse eam sibi curam sumpsit: nauticos C- Laelius, qui classis praefectus erat, in nauibus ante conscendere coactos continuit: commeatus imponendi M- Pomponio praetori cura data: quinque et quadraginta dierum cibaria, e quibus quindecim dierum cocta, imposita. ut omnes iam in nauibus erant, scaphas circummisit ut ex omnibus nauibus gubernatoresque et magistri nauium et bini milites in forum conuenirent ad imperia accipienda. postquam conuenerunt, primum ab iis quaesiuit si aquam hominibus iumentisque in totidem dies quot frumentum imposuissent. ubi responderunt aquam dierum quinque et quadraginta in nauibus esse, tum edixit militibus ut silentium quieti nautis sine certamine ad ministeria exsequenda bene oboedientes praestarent. cum uiginti rostratis se ac L- Scipionem ab dextro cornu, ab laeuo totidem rostratas et C- Laelium praefectum classis cum M- Porcio Catone -- quaestor is tum erat -- onerariis futurum praesidio. lumina in nauibus singula rostratae, bina onerariae haberent: in praetoria naue insigne nocturnum trium luminum fore. Emporia ut peterent gubernatoribus edixit. -- fertilissimus ager eoque abundans omnium copia rerum est regio, et imbelles -- quod plerumque in uberi agro euenit -- barbari sunt priusque quam ab Carthagine subueniretur opprimi uidebantur posse. -- iis editis imperiis redire ad naues iussi et postero die bis bene iuuantibus signo dato soluere naues.

Le nombre des soldats transportés en Afrique ne varie pas peu suivant les auteurs consultés : 2. ici, je trouve dix mille fantassins et deux mille deux cents cavaliers; là, seize mille fantassins et seize-cents cavaliers : ailleurs on augmente de plus de moitié, et ce sont trente-cinq mille fantassins et cavaliers qu'on fait monter sur les navires. 3. Certains n'ont pas donné de chiffre dans leur récit, et moi-même, sur ce point incertain, je préférerai me ranger parmi eux. Coelius, s'il s'abstient de donner un chiffre, étend à l'infini l'aspect de la foule de ces soldats : 4. il dit que leur cri fit tomber les oiseaux à terre, et qu'il s'embarqua une telle multitude, qu'il semblait ne rester aucun mortel en Italie ni en Sicile.
5. Pour les soldats, Scipion se chargea lui-même de les faire embarquer en bon ordre et sans trouble; les matelots, Caïus Laelius, commandant de la flotte, les retint sur les navires, après les y avoir fait monter les premiers; 6. l'embarquement des vivres fut confié au préteur Marcus Pomponius : on chargea quarante-cinq jours de blé, dont quinze jours de pain cuit d'avance.
7. Quand tous étaient déjà embarqués, Scipion envoya des canots faire le tour des vaisseaux, et amener, de chacun d'eux, le pilote, le capitaine et deux soldats jusqu'au forum, pour prendre ses ordres. 8. Quand ils y furent, il leur demanda d'abord s'ils avaient embarqué l'eau nécessaire aux hommes et aux animaux pour aussi longtemps que du blé. 9: Quand ils eurent répondu qu'il y avait de l'eau pour quarante-cinq jours sur les navires, il ordonna aux soldats de laisser avec discipline, en silence, tranquillement, les matelots, sans se disputer avec eux, faire leur service. 10. Avec vingt bateaux de guerre, Lucius Scipion et lui, à l'aile droite, à l'aile gauche, avec le même nombre de bateaux, Caïus Laelius, cornmandant de la flotte, et Marcus Porcius Caton - alors questeur - veilleraient, dit-il, sur les transports;
11. il y aurait un feu sur les bateaux de guerre, deux sur les bateaux de charge; le bateau amiral aurait, pour se distinguer pendant la nuit, trois feux. 12. Scipion dit aux pilotes de se diriger sur Emporia. Le territoire en est très fertile; par suite, la région abonde en ressources de toute sorte; les barbares y sont peu guerriers, comme il arrive le plus souvent sur un riche terroir, et l'on aurait, semblait-il, le temps, avant qu'on vînt à leur secours de Carthage, de les écraser. 13. Ces ordres donnés, on dit à tous de regagner leur bateau, et le lendemain, avec l'aide des dieux, au signal donné, de lever l'ancre.

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1 scipione rimprovera ai locresi la diserzione
Scipio ut et arcem relictam ab hostibus et vacua vidit castra, vocatos ad contionem Locrenses graviter ob defectionem incusavit; de auctoribus supplicium sumpsit bonaque eorum alterius factionis principibus ob egregiam fidem adversus Romanos concessit. publice nec dare nec eripere se quicquam Locrensibus dixit; Romam mitterent legatos; quam senatus aequum censuisset, eam fortunam habituros. illud satis scire, etsi male de populo Romano meriti essent, in meliore statu sub iratis Romanis futuros quam sub amicis Carthaginiensibus fuerint. ipse Pleminio legato praesidioque quod arcem ceperat ad tuendam urbem relicto, cum quibus venerat copiis Messanam traiecit.

2 una pestilenza invade roma ed il console licinio chiede al senato di licenziare l'esercito

Iam comitiorum appetebat tempus cum a P. Licinio consule litterae Romam allatae se exercitumque suum gravi morbo adflictari, nec sisti potuisse ni eadem vis mali aut gravior etiam in hostes ingruisset; itaque quoniam ipse venire ad comitia non posset, si ita patribus videretur, se Q. Caecilium Metellum dictatorem comitiorum causa dicturum. exercitum Q. Caecili dimitti e re publica esse; [nam] neque usum eius ullum in praesentia esse, cum Hannibal iam in hiberna suos receperit, et tanta incesserit in ea castra vis morbi ut nisi mature dimittantur nemo omnium superfuturus videatur. ea consuli a patribus facienda ut e re publica fideque sua duceret permissa.

3 filippo costringe gli etoli alla pace secondo le sue condizioni e i romani intervengono inaiuto di questi ultimi

Neglectae eo biennio res in Graecia erant. itaque Philippus Aetolos desertos ab Romanis, cui uni fidebant auxilio, quibus voluit condicionibus ad petendam et paciscendam subegit pacem. quod nisi omni vi perficere maturasset, bellantem eum cum Aetolis P. Sempronius proconsul, successor imperii missus Sulpicio cum decem milibus peditum et mille equitibus et triginta quinque rostratis navibus, haud parvum momentum ad opem ferendam sociis, oppressisset. vixdum pace facta nuntius regi venit Romanos Dyrrachium venisse Parthinosque et propinquas alias gentes motas esse ad spem novandi res Dimallumque oppugnari. eo se averterant Romani ab Aetolorum quo missi erant auxilio, irati quod sine auctoritate sua adversus foedus cum rege pacem fecissent

4 dissenso e incertezza fra gli storici sul numero di soldati trasportati da scipione in africa

Quantum militum in Africam transportatum sit non parvo numero inter auctores discrepat. alibi decem milia peditum duo milia et ducentos equites, alibi sedecim milia peditum mille et sescentos equites, alibi parte plus dimidia rem auctam, quinque et triginta milia peditum equitumque in naves imposita . quidam non adiecere numerum, inter quos me ipse in re dubia poni malim. Coelius ut abstinet numero, ita ad immensum multitudinis speciem auget: volucres ad terram delapsas clamore militum ait tantamque multitudinem conscendisse naves ut nemo mortalium aut in Italia aut in Sicilia relinqui videretur.

5 asdrubale ritiene coraggioso ed ambizioso massinissa

Hasdrubal tum forte cum haec gerebantur apud Syphacem erat; qui Numidae, haud sane multum ad se pertinere credenti utrum penes Lacumazen an Masinissam regnum Maesuliorum esset, falli eum magno opere ait si Masinissam eisdem contentum fore quibus patrem Galam aut patruum eius Oezalcem credat: multo maiorem indolem in eo animi ingeniique esse quam in ullo gentis eius unquam fuisset; saepe eum in Hispania rarae inter homines virtutis specimen dedisse sociis pariter hostibusque; et Syphacem et Carthaginienses nisi orientem illum ignem oppressissent ingenti mox incendio cum iam nullam opem ferre possent arsuros; adhuc teneras et fragiles vires eius esse vixdum coalescens foventis regnum

SONO QUESTE... VI RINGRAZIO VERAMENTE MOLTO SIETE GENTILISSIMI... PURTROPPO MI HANNO DATO ALTRE 6 VERSIONI E NON SONO RIUSCITA A FARE ANCHE QUESTE...
SPERO MI POSSIATE AIUTARE E DI POTER RICAMBIARE IN QUALCHE MODO PROSSIMAMENTE.

CIAO CIAO LOSY

Thesuperman91
..scuza....pensavo fosse riferito a ieri sera....opzzzz:O_o:lol

alkalewi
ha detto ke le scriverà stasera

Thesuperman91
le hai scritte?????altrimenti qua non traduciamo niente....

alkalewi
di niente
cercherò di fare il mio meglio

losy4ever
va benissimo allora questa sera le scriverò per intero... vi ringrazio moltissimo siete gentilissimi!

Thesuperman91
se le scrivi per intero possiamo dividercele e tradurre........

pukketta
io no.....

SuperGaara
Io no...vediamo se le ha qualcun'altro...

losy4ever
sono proprio sfigata allora...

nessuno di voi le ha mai fatto o trovate da qlc parte???

SuperGaara
Queste versioni fanno parte tutte del libro 29 di "ab Urbe condita" di Livio, ma purtroppo di quel libro non si riescono a trovare le traduzioni.

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