Aiutooooooooo (7126)
raga mi servirebbe la versione a pag 87 num 20 di superni gratus si intitola romani e privernati è di valerio massimo
Priverno capto interfectisque illis, qui id oppidum ad rebellandum incitaverant, senatus indignatione accensus consilium agitabat quid sibi de reliquis privernatibus esset faciendum.privernates autem, quamvis animadverterent unicum auxilium in precibus restare, italici sanguinis oblivisci non potuerunt: princeps enim eorum, in curia interrogatus quam poenam, mererentur, respondit: < poenam quam merentur qui se dignos libertate iudicant >. his verbis exasperatos patrum conscriptorum animos inflammaverat. sed plautinus consul, quaesivit ex privernatum principe qualem pacem cum eis romani habituri essent, si donata esset eis impunitas. at ille constantissimo vultu: < si bonam dederitis > -- inquit-- < perpetuam ; si malam, non diuturnam >. qua voce commoti, patres statuerunt ut victis non solum venia,sed etiam ius et beneficium nostrae civitatis daretur.
qst è la mia versione....è x dm vi prego
Priverno capto interfectisque illis, qui id oppidum ad rebellandum incitaverant, senatus indignatione accensus consilium agitabat quid sibi de reliquis privernatibus esset faciendum.privernates autem, quamvis animadverterent unicum auxilium in precibus restare, italici sanguinis oblivisci non potuerunt: princeps enim eorum, in curia interrogatus quam poenam, mererentur, respondit: < poenam quam merentur qui se dignos libertate iudicant >. his verbis exasperatos patrum conscriptorum animos inflammaverat. sed plautinus consul, quaesivit ex privernatum principe qualem pacem cum eis romani habituri essent, si donata esset eis impunitas. at ille constantissimo vultu: < si bonam dederitis > -- inquit-- < perpetuam ; si malam, non diuturnam >. qua voce commoti, patres statuerunt ut victis non solum venia,sed etiam ius et beneficium nostrae civitatis daretur.
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Risposte
Trovata in francese
1. Après la prise de Priverne et l'exécution de ceux qui avaient poussé cette ville à la révolte, le sénat, soulevé d indignation, délibérait sur le parti à prendre au sujet du reste des Privernates. Dans cette situation critique il était douteux qu'ils eussent la vie sauve, leur sort dépendant d'un ennemi à la fois vainqueur et irrité. Mais, bien qu'ils ne vissent plus d'autre ressource que les supplications, ils ne purent oublier qu'ils étaient de naissance libre et de sang italien. Dans l'assemblée du sénat on demanda à leur chef quelle peine ils croyaient avoir méritée : « Celle, répondit-il, que méritent les peuples qui s'estiment dignes de la liberté. » Par ce propos il avait pour ainsi dire rouvert les hostilités et allumé la colère des sénateurs déjà exaspérés. Mais le consul Plautius, favorable à la cause des Privernates, lui fournit un moyen de retirer cette parole hardie : il lui demanda quelle paix les Romains pourraient attendre d'eux, si on leur accordait l'impunité. « Une paix éternelle répondit-il d'un air plein d'assurance, si vous la faites acceptable ; et peu durable, si vous la faites rigoureuse.
Ces paroles valurent aux vaincus, avec le pardon, les droits et les privilèges de citoyens romains. (An de R. 412.)
1. Après la prise de Priverne et l'exécution de ceux qui avaient poussé cette ville à la révolte, le sénat, soulevé d indignation, délibérait sur le parti à prendre au sujet du reste des Privernates. Dans cette situation critique il était douteux qu'ils eussent la vie sauve, leur sort dépendant d'un ennemi à la fois vainqueur et irrité. Mais, bien qu'ils ne vissent plus d'autre ressource que les supplications, ils ne purent oublier qu'ils étaient de naissance libre et de sang italien. Dans l'assemblée du sénat on demanda à leur chef quelle peine ils croyaient avoir méritée : « Celle, répondit-il, que méritent les peuples qui s'estiment dignes de la liberté. » Par ce propos il avait pour ainsi dire rouvert les hostilités et allumé la colère des sénateurs déjà exaspérés. Mais le consul Plautius, favorable à la cause des Privernates, lui fournit un moyen de retirer cette parole hardie : il lui demanda quelle paix les Romains pourraient attendre d'eux, si on leur accordait l'impunité. « Une paix éternelle répondit-il d'un air plein d'assurance, si vous la faites acceptable ; et peu durable, si vous la faites rigoureuse.
Ces paroles valurent aux vaincus, avec le pardon, les droits et les privilèges de citoyens romains. (An de R. 412.)
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