Aiuto.....

Alibep
Ciao a tutti...qualcuno potrebbe trovare la traduzione della versione n°25 a pag.268 del libro di latino CONTEXERE ESERCIZI 1???
Il titolo è: "Un delfino amico dei ragazzi"
Inizia così: Erat in Africa Hipponensis colonia mari proxima...
(io ho trovato delle traduzioni ma nessuna è come nel mio testo)
Ringrazio anticipatamente chiunque mi aiuterà...

Risposte
Mario
(1) Incidi in materiam ueram sed simillimam fictae, dignamque isto laetissimo altissimo planeque poetico ingenio; incidi autem, dum super cenam uaria miracula hinc inde referuntur. Magna auctori fides: tametsi quid poetae cum fide? Is tamen auctor, cui bene uel historiam scripturus credidisses.
(2) Est in Africa Hipponensis colonia mari proxima. Adiacet nauigabile stagnum; ex hoc in modum fluminis aestuarium emergit, quod uice alterna, prout aestus aut repressit aut impulit, nunc infertur mari, nunc redditur stagno. (3) Omnis hic aetas piscandi nauigandi atque etiam natandi studio tenetur, maxime pueri, quos otium lususque sollicitat. His gloria et uirtus altissime prouehi: uictor ille, qui longissime ut litus ita simul natantes reliquit. (4) Hoc certamine puer quidam audentior ceteris in ulteriora tendebat. Delphinus occurrit, et nunc praecedere puerum nunc sequi nunc circumire, postremo subire deponere iterum subire, trepidantemque perferre primum in altum, mox flectit ad litus, redditque terrae et aequalibus. (5) Serpit per coloniam fama; concurrere omnes, ipsum puerum tamquam miraculum aspicere, interrogare audire narrare. Postero die obsident litus, prospectant mare et si quid est mari simile. Natant pueri, inter hos ille, sed cautius. Delphinus rursus ad tempus, rursus ad puerum. Fugit ille cum ceteris. Delphinus, quasi inuitet et reuocet, exsilit mergitur, uariosque orbes implicat expeditque. (6) Hoc altero die, hoc tertio, hoc pluribus, donec homines innutritos mari subiret timendi pudor. Accedunt et alludunt et appellant, tangunt etiam pertrectantque praebentem. Crescit audacia experimento. Maxime puer, qui primus expertus est, adnatat nanti, insilit tergo, fertur referturque, agnosci se amari putat, amat ipse; neuter timet, neuter timetur; huius fiducia, mansuetudo illius augetur. (7) Nec non alii pueri dextra laeuaque simul eunt hortantes monentesque. Ibat una - id quoque mirum - delphinus alius, tantum spectator et comes. Nihil enim simile aut faciebat aut patiebatur, sed alterum illum ducebat reducebat, ut puerum ceteri pueri. (8) Incredibile, tam uerum tamen quam priora, delphinum gestatorem collusoremque puerorum in terram quoque extrahi solitum, harenisque siccatum, ubi incaluisset in mare reuolui. (9) Constat Octauium Auitum, legatum proconsulis, in litus educto religione praua superfudisse unguentum, cuius illum nouitatem odoremque in altum refugisse, nec nisi post multos dies uisum languidum et maestum, mox redditis uiribus priorem lasciuiam et solita ministeria repetisse. (10) Confluebant omnes ad spectaculum magistratus, quorum aduentu et mora modica res publica nouis sumptibus atterebatur. Postremo locus ipse quietem suam secretumque perdebat: placuit occulte interfici, ad quod coibatur. (11) Haec tu qua miseratione, qua copia deflebis ornabis attolles! Quamquam non est opus affingas aliquid aut astruas; sufficit ne ea quae sunt uera minuantur. Vale.

J'ai découvert un sujet de poème. C'est une histoire, mais qui a tout l'air d'une fable. Il mérite d'être traité par un homme comme vous, qui ait l'esprit agréable, élevé, poétique. J'en ai fait la découverte à table, où chacun contait à l'envi son prodige. L'auteur passe pour très fidèle, quoiqu'à vrai dire, qu'importe la fidélité à un poète? Cependant c'est un auteur tel, que vous ne refuseriez pas de lui ajouter foi, si vous écriviez l'histoire. Près de la colonie d'Hippone, qui est en Afrique sur le bord de la mer, on voit un étang navigable, d'où sort un canal qui, comme un fleuve, entre dans la mer, ou retourne à l'étang même, selon que le flux l'entraîne ou que le reflux le repousse. La pêche, la navigation, le bain, y sont des plaisirs de tous les âges, surtout des enfants, que leur inclination porte au divertissement et à l'oisiveté.
Entre eux, ils mettent l'honneur et le mérite à quitter de plus loin le rivage; et celui qui s'en éloigne le plus, et qui devance tous les autres, en est le vainqueur. Dans cette sorte de combat, un enfant plus hardi que ses compagnons s'étant fort avancé, un dauphin se présente, et tantôt le précède, tantôt le suit, tantôt tourne autour de lui; enfin charge l'enfant sur son dos, puis le remet à l'eau; une autre fois le reprend, et l'emporte tout tremblant, d'abord en pleine mer; mais peu après il revient à terre, et le rend au rivage et à ses compagnons. Le bruit s'en répand dans la colonie. Chacun y court, chacun regarde cet enfant comme une merveille; on ne peut se lasser de l'interroger, de l'entendre, de raconter ce qui s'est passé. Le lendemain, tout le peuple court au rivage. Ils ont tous les yeux sur la mer, ou sur ce qu'ils prennent pour elle; les enfants se mettent à la nage, et parmi eux celui dont je vous parle, mais avec plus de retenue. Le dauphin revient à la même heure, et s'adresse au même enfant. Celui-ci prend la fuite avec les autres. Le dauphin, comme s'il voulait le rappeler et l'inviter, saute, plonge, et fait cent tours différents. Le jour suivant, celui d'après, et plusieurs autres de suite, même chose arrive, jusqu'à ce que ces gens, nourris sur la mer, se font une honte de leur crainte. Ils approchent le dauphin, ils l'appellent, ils se jouent avec lui, ils le touchent, il se laisse manier. Cette épreuve les encourage, surtout l'enfant qui le premier en avait couru le risque ; il nage auprès du dauphin, et saute sur son dos. Il est porté et rapporté; il se croit reconnu et aimé, il aime aussi; ni l'un ni l'autre n'a de peur, ni n'en donne. La confiance de celui-là augmente, et en même temps la docilité de celui-ci ; les autres enfants même l'accompagnent en nageant, et l'animent par leurs cris et par leurs discours.
Avec ce dauphin en était un autre (et ceci n'est pas moins merveilleux), qui ne servait que de compagnon et de spectateur. Il ne faisait, il ne souffrait rien de semblable; mais il menait et ramenait l'autre, comme les enfants menaient et ramenaient leur camarade. Il est incroyable (mais pourtant il n'est pas moins vrai que tout ce qui vient d'être dit) que ce dauphin, qui jouait avec cet enfant, et qui le portait, avait coutume de venir à terre, et qu'après s'être séché sur le sable, lorsqu'il venait à sentir la chaleur, il se rejetait à la mer. Il est certain qu'Octavius Avitus, lieutenant du proconsul, emporté par une vaine superstition, prit le temps que le dauphin était sur le rivage, pour faire répandre sur lui des parfums, et que la nouveauté de cette odeur le mit en fuite et le fit sauver dans la mer. Plusieurs jours s'écoulèrent depuis sans qu'il parût. Enfin il revint, d'abord languissant et triste ; et peu après, ayant repris ses premières forces, il recommença ses jeux et ses tours ordinaires.
Tous les magistrats des lieux circonvoisins s'empressaient d'accourir à ce spectacle. Leur arrivée et leur séjour engageaient cette ville, qui n'est pas déjà trop riche, à de nouvelles dépenses, qui achevaient de l'épuiser. Ce concours de monde y troublait d'ailleurs et y dérangeait tout. On prit donc le parti de tuer secrètement le dauphin qu'on venait voir. Avec quels sentiments ne pleurerez-vous point son sort! avec quelles expressions, avec quelles figures n'enrichirez vous point, ne relèverez-vous point cette histoire, quoiqu'il ne soit pas besoin de votre art pour l'augmenter ou l'embellir, et qu'il suffise de ne rien ôter à la vérité? Adieu.

paraskeuazo
Senti, se tu stessa hai cercato e nn hai trovato ciò che ti interessa, è difficile che noi troviamo qlcs di diverso, internet quello è. Poi cmq nn hai detto gli ultimi righi...
questo è quello ke ho trovato per ora, se nn è proprio identica, almeno è simile??


Est in Africa Hipponensis colonia mari proxima. Adiacet navigabile lacus: ibi homines otiosum tempus agunt, navigant atque etiam natant, maxime pueri iucundos lusus ludunt. Pueris gloria et virtus est in altissimum mare procedere; victor est ille qui longissime litus et simul ceteros pueros relinquit. Quondam puer, audentior ceteris, in ulteriora tendebat. Delphinus occurrit et nunc ante puerum, nunc post, nunc circum natabat, postremo dorso puerum tollebat et trepidum in altum vehebat; postea ad litus flectebat. Serpit per coloniam fama; concurrunt omnes, ut puerum tamquam miraculum aspicerent. Postero die puer inter amicis natabat, sed cautius. Delphinus rursus occurrit. Fugit puer cum ceteris comitibus. Delphinus ut puerum invitaret et revocaret, exsiluit variosque orbes implicuit. Ita per complures dies. Confluebat ad spectaculum tanta multitudo hominum ut locus quietem suam perderet. Igitur magistratibus placuit delphinum occulte interfici.
In Africa si trova una colonia, Ippona, vicina al mare. Ha un lago navigabile: qui gli uomini conducono il tempo in ozio, naviagano e nuotano, specialmente i fanciulli giocano felici. Ai fanciulli è la gloria e la virtù di procedere nell’altissimo mare; è vincitore quello che lascia di più il lido insieme agli altri fanciulli. Una volta un fanciullo, più sfacciato degli altri, si spinse più del dovuto. Un delfino accorse e ora davanti al fanciullo ora dientro ora intorno nuotava, alla fine prese il fanciullo sul dorso e lo portò impaurito a galla, dopo lo riportò alla spiaggia . La notizia serpeggiò per la colonia; accorsero tutti, per guardare tanto il fanciullo tanto il miracolo. Il giorno dopo il fanciullo nuotava tra gli amici, ma cauto. Il delfino accorse di nuovo. Fuggì il fanciullo con gli altri compagni. Il delfino per invitare e richiamare il fanciullo schizzò diversi e coinvolse tutti. Così per molti giorni. Molta folla di uomini confluiva allo spettacolo al punto che il luogo perse la sua quiete. Dunque i magistrati decisero di uccidere di nascosto il delfino

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