Please help me!!!

GiorgY
ehm...ciao!!! scusate,sareste così gentili da mandarmi alcune versioni di latino se ce le avete???grazieeee
1. Guerra civile fra Cesare e Pompeo (Floro,Epitome) Iam paene toto orbe pacato..odia victoris sese caede satiarent.
2. Lo spirito è superiore alla carne (Tertulliano, Ad martyras) Scimus ex dominico praecepto quod caro infirma sit...sexui vestro respondeatis.
3. Conviene allearsi con Antioco o con Roma? (Livio,Ab urbe condita) Thoas primus in eo concilio renuntiavit legionem...ad funestum armerent bellum.
4. Mecenate sventa una congiura ai danni di Ottaviano (Velleio Patercolo,Historia Romana) Dum ultimam bello Actiaco Alexandrinoque...et ille quidem male consultorum poenas exolvit.
Grazie mille in anticipo!!!
:angel

Risposte
paraskeuazo
Se volete traduco il testo in francese. Qlcn ha intenzione di tradurlo direttamente dal latino?? ditelo sennò mi fate perdere di nuovo 1 ora per niente.

Il pezzo di testo l'ho trovato, è qsto:

Dans cette assemblée, Thoas parla le premier pour rendre compte de sa mission. Après lui parut Ménippe; "il représenta qu'il eût été fort heureux pour tous les habitants de la Grèce et de l'Asie que l'intervention eût été possible, lorsque la puissance de Philippe n'était pas encore entamée; (9) que chacun aurait conservé la jouissance de ses biens, et que tout ne dépendrait pas du caprice et du despotisme des Romains. (10) Maintenant encore, ajouta-t-il, pour peu que vous vouliez mener à bonne fin par votre persévérance les projets que vous avez formés, Antiochus pourra, avec l'aide des dieux et l'appui des Étoliens, relever les affaires de la Grèce et lui rendre son ancienne importance. (11) Or cette importance consiste dans une liberté assez forte pour subsister par elle-même, sans dépendre d'une volonté étrangère." (12) Les Athéniens, qui obtinrent les premiers la parole après l'envoyé du roi, ne dirent pas un mot d'Antiochus, et se contentèrent de rappeler aux Étoliens le traité qu'ils avaient conclu avec Rome, et la reconnaissance que toute la Grèce devait à T. Quinctius: (13) "Il ne fallait pas, dirent-ils, renverser ce qui existait, par trop de précipitation. Les résolutions promptes et hardies plaisaient au premier abord; mais l'exécution était toujours épineuse et le résultat malheureux. Des ambassadeurs romains, au nombre desquels se trouvait T. Quinctius lui-même, étaient peu éloignés. (14) Avant de rien décider, il valait mieux discuter de vive voix avec eux les points en litige que d'allumer en Europe et en Asie une guerre funeste."

Ok visto ke nn ci ha ancora pensato nessuno, ecco qua:

In questa assemblea, Thoas parlò per primo per rendere conto della sua missione. Dopo di lui apparve Menippo; "egli ha detto che era stato molto felice per tutti gli abitanti della Grecia e dell'Asia, che l'intervento era stato possibile, quando la potenza di Filippo non era ancora incominciata; che ognuno avrebbe conservato il godimento dei suoi beni, e che tutto non dipenderebbe dal capriccio e dal dispotismo dei Romani. Ora, ancora, aggiunse, per poco che voi vogliate portare a buon fine con la vostre perseveranza i progetti che avete ideato, Antioco potrà, con l'aiuto degli dei e l'appoggio degli Etoli, risollevare gli affari della Grecia e rendergli la sua antica importanza. Ora questa importanza consiste in una libertà abbastanza forte di poter sussistere in modo autosufficiente, senza dipendere da una volontà straniera."Gli Atenesi, che ottennero per primi la parola dopo il messo del re, non dissero una parola di Antioco, e si accontentarono di richiamar gli Etoli al trattato che avevano concluso con Roma, e la riconoscenza che tutta la Grecia doveva a T. Quinctius: "Non bisognava, dissero, capovolgere ciò che esisteva, in modo troppo precipitoso. Le risoluzioni pronte e audaci piacevano a prima vista; ma l’esecuzione era sempre difficile e il risultato sfortunato. Degli ambasciatori romani, tra i quali si trovava lo stesso T. Quinctius, erano poco lontani. Prima di decidere, era meglio discutere di persona con loro i punti in disaccordo, che scatenare in Europa e in Asia una guerra funesta."

Mario
Huius orationem subsecutae multitudinis preces sunt; Eurylochus ex concilio itineribus occultis ad portam atque inde protinus in Aetoliam profugit. iam enim et id magis in dies Aetoli defectionem nudabant, eoque ipso forte tempore Thoas princeps gentis, quem miserant ad Antiochum, redierat inde Menippumque secum adduxerat regis legatum. qui, priusquam concilium iis daretur, impleuerant omnium aures terrestres naualesque copias commemorando: ingentem uim peditum equitumque uenire, ex India elephantos accitos, ante omnia, quo maxime credebant moueri multitudinis animos, tantum aduehi auri ut ipsos emere Romanos posset. apparebat quid ea oratio in concilio motura esset; nam et uenisse eos et quae agerent omnia legatis Romanis deferebantur; et quamquam prope abscisa spes erat, tamen non ab re esse Quinctio uisum est sociorum aliquos legatos interesse ei concilio, qui admonerent Romanae societatis Aetolos, qui uocem liberam mittere aduersus regis legatum auderent. Athenienses maxime in eam rem idonei uisi sunt et propter ciuitatis dignitatem et uetustam societatem cum Aetolis. ab iis Quinctius petit ut legatos ad Panaetolicum concilium mitterent. Thoas primus in eo concilio renuntiauit legationem. Menippus post eum intromissus optimum fuisse omnibus qui Graeciam Asiamque incolerent ait integris rebus Philippi potuisse interuenire Antiochum: sua quemque habiturum fuisse neque omnia sub nutum dicionemque Romanam peruentura. 'nunc quoque' inquit, 'si modo uos quae incohastis consilia constanter perducitis ad exitum, poterit diis iuuantibus et Aetolis sociis Antiochus quamuis inclinatas Graeciae res restituere in pristinam dignitatem. ea autem in libertate posita est quae suis stat uiribus, non ex alieno arbitrio pendet.' Athenienses, quibus primis post regiam legationem dicendi quae uellent potestas facta est, mentione omni regis praetermissa Romanae societatis Aetolos meritorumque in uniuersam Graeciam T- Quincti admonuerunt: ne temere eam nimia celeritate consiliorum euerterent; consilia calida et audacia prima specie laeta, tractatu dura, euentu tristia esse. legatos Romanos, et in iis T- Quinctium, haud procul inde abesse; dum integra omnia essent, uerbis potius de iis quae ambigerentur disceptarent quam Asiam Europamque ad funestum armarent bellum.

Toute l'assemblée joignit ses prières aux protestations de Zénon. Euryloque, en sortant de l'assemblée, gagna la porte de la ville par des rues détournées, et s'enfuit aussitôt en Étolie; (2) car les Étoliens s'étaient déclarés, et de jour en jour ils manifestaient plus ouvertement leurs intentions. Le hasard voulut que précisément à cette époque, Thoas, un de leurs chefs, revint de la mission qu'on lui avait confiée auprès d'Antiochus et ramenât avec lui Ménippe, ambassadeur du roi. (3) Tous deux, avant de paraître devant l'assemblée, avaient fait grand bruit des forces de terre et de mer que le roi amenait avec lui; (4) ils disaient partout qu'un nombre prodigieux de fantassins et de cavaliers était en marche; que des éléphants arrivaient du fond de l'Inde; mais que surtout Antiochus apportait assez d'or pour être en état d'acheter les Romains mêmes. (5) Ce dernier point était celui qui leur paraissait devoir faire le plus d'impression sur l'esprit de la foule. Les ambassadeurs romains savaient bien quel effet ces exagérations produiraient dans l'assemblée; ils étaient instruits de l'arrivée de Thoas et de Ménippe, et de leurs intrigues.(6) Il n'y avait rien à espérer de ce côté; néanmoins Quinctius crut qu'il n'était pas inutile de faire assister à cette assemblée quelques représentants des alliés chargés de rappeler aux Étoliens leur traité avec Rome et d'élever hardiment la voix contre l'ambassadeur d'Antiochus. (7) Ce furent les Athéniens qui lui parurent les plus propres à jouer ce rôle à cause de l'importance de leur ville et de l'ancienne alliance qui les unissait aux Étoliens. Quinctius les pria d'envoyer des ambassadeurs au Panétolium. (8) Dans cette assemblée, Thoas parla le premier pour rendre compte de sa mission. Après lui parut Ménippe; "il représenta qu'il eût été fort heureux pour tous les habitants de la Grèce et de l'Asie que l'intervention eût été possible, lorsque la puissance de Philippe n'était pas encore entamée; (9) que chacun aurait conservé la jouissance de ses biens, et que tout ne dépendrait pas du caprice et du despotisme des Romains. (10) Maintenant encore, ajouta-t-il, pour peu que vous vouliez mener à bonne fin par votre persévérance les projets que vous avez formés, Antiochus pourra, avec l'aide des dieux et l'appui des Étoliens, relever les affaires de la Grèce et lui rendre son ancienne importance. (11) Or cette importance consiste dans une liberté assez forte pour subsister par elle-même, sans dépendre d'une volonté étrangère." (12) Les Athéniens, qui obtinrent les premiers la parole après l'envoyé du roi, ne dirent pas un mot d'Antiochus, et se contentèrent de rappeler aux Étoliens le traité qu'ils avaient conclu avec Rome, et la reconnaissance que toute la Grèce devait à T. Quinctius: (13) "Il ne fallait pas, dirent-ils, renverser ce qui existait, par trop de précipitation. Les résolutions promptes et hardies plaisaient au premier abord; mais l'exécution était toujours épineuse et le résultat malheureux. Des ambassadeurs romains, au nombre desquels se trouvait T. Quinctius lui-même, étaient peu éloignés. (14) Avant de rien décider, il valait mieux discuter de vive voix avec eux les points en litige que d'allumer en Europe et en Asie une guerre funeste."

4.While Caesar was engaged in giving the finishing touch to the war at Actium and Alexandria, Marcus Lepidus, a young man whose good looks exceeded his prudence — son of the Lepidus who had been one of the triumvirs201 for the re-establishment of order in the state and of Junia the sister of Brutus — had formed plans for the assassination of Caesar as soon as he should return to the city. 2 The guards of the city were at that time under the charge of Gaius Maecenas, of equestrian rank, but none the less of illustrious lineage, a man who was literally sleepless when occasion demanded, and quick to foresee what was to be done and skilful in doing it, but when any relaxation was allowed him from business cares would almost outdo a woman in giving himself up to indolence and soft luxury. He was not less loved by Caesar than Agrippa, though he had fewer honours heaped upon him, since he lived thoroughly content with the narrow stripe of the equestrian order.202 He might have achieved a position no less high than Agrippa, but had not the same ambition for it. 3 Quietly and carefully concealing his activity he unearthed the plans of the hot-headed youth, and by crushing Lepidus with wonderful swiftness and without p237causing disturbance to either men or things he extinguished the portentous beginnings of a new and reviving civil war. Lepidus himself paid the penalty for his ill-advised plot. Servilia his wife must be placed on a parity with the wife of Antistius already mentioned,203 for by swallowing live coals she compensated for her untimely death by the lasting memory of her name.

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